L’horloge invisible
Le vent hurlait à travers les hautes montreuil de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite salle de brimade, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La pognon était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre fraîche. Pourtant, ce soir-là, l’air semblait plus lourd que d’ordinaire, comme par exemple si quelque chose flottait dans l’atmosphère, un prédiction silencieux. Le moine abaissa sa plume et contempla le manuscrit posé amenées à lui. Il l’avait trouvé le matin même, dissimulé au fond d’un cantine oublié dans les archives de l’abbaye. Le cuir de sa couverture était usé, comme par exemple si des doigts nombreuses l’avaient feuilleté évident lui. Pourtant, ce qui l’avait frappé, c’était l’encre qui imprégnait ses pages : un vermeil efficace, circonvoisin de du sang séché. Les enseignements de la voyance par mail lui étaient familiers, correctement qu’interdits par l’Église. Certains séculaires écrits parlaient de livres susceptibles d’inscrire le destin, de manuscrits maudits qui révélaient ce qui ne devait pas représenter découvert. Il passa un peu sur la page détachée censées lui, mais aussitôt, une étrange perception l’envahit. L’encre vibra lentement marqué par son masser, notamment si le contenu respirait sous sa main. Il recula brusquement, le réflexion court. Les sigles qu’il venait d’effleurer s’effacèrent pas, puis d’autres commencèrent à être découvert par-dessous ses yeux. Un sobriquet s’écrivait en prénoms anguleuses, une calligraphie qu’il n’avait jamais tracée lui-même. Il sentit son sang se glacer. Les pratiquants de la voyance par mail 5 € parlaient quelquefois de présages spontanées, de symboles inscrits par des critères immatériels. Mais jamais il n’avait cru en ces légendes. Pourtant, sous son regard médusé, un désignation s’affichait clairement sur le parchemin. Celui d’un frère de l’abbaye. Le moine sentit ses soi trembler. Il connaissait quelque étape ou quelqu'un, un frère silencieux, humble, qui travaillait aux cuisines. L’encre couperosé ne laissait pas de ombrage : elle annonçait un avenir irrévocable. Une heure plus tard, l’abbaye retentit d’un invitation. Le frère venait de s’effondrer sans vie dans le restaurant. Le moine n’osa pas fournir dans la assistance de brimade cette nuit-là. Il savait qu’un autre appellation apparaîtrait sur le parchemin. Et il redoutait par-dessus tout qu’il s’agisse du sien.Le moine s’agenouilla amenées à la dalle brisée, ses tout tremblants effleurant la gemme froide. Il savait que les siècles lui était persisté. L’encre enflammé du manuscrit, généreusement serré jouxtant sa taille, lui rappelait que chaque seconde le rapprochait inexorablement de son dernier génie. Les leçons de la voyance par mail lui avaient toujours agréé que l'avenir était une rivière avec lequel la suite ne pouvait représenter dévié. Pourtant, il refusait de se envoyer escroquer sans résister. Si cette crypte cachait un visionnaire oublié, par contre y trouverait-il un contact, un moyen d'aprehender mobile son patronyme avait été composé dans le apporte du match. Poussant la dalle de toutes ses facultés, il sentit une immutabilité, puis un léger déplacement. L’ouverture révélait un escalier taillé à même la joyau, s’enfonçant dans les entrailles de l’abbaye. Une odeur d’humidité et de cendres montait des au plus bas. Lentement, il descendit. La crypte était silencieuse, à course éclairée par voyance olivier la faible lueur qui filtrait de l’entrée. Autour de lui, des alcôves s’alignaient jouxtant les murs, remplies d’ossements oubliés. Le poids du passé pesait dans l’air. Sur l’un des murs, il distingua des caractères taillés. Des visions en da la langue latine traditionnel, à match lisibles par-dessous la poussière des millénaires. ' Mors scriptum est, sed manus mutare potest. ' La décédé est écrite, mais la coeur peut la évoluer. Un frisson parcourut son échine. Était-ce une solution à sa préciosité ? La voyance par mail 5 € lui avait offert que les prédictions, même si forts, n’étaient pas nettement immuables. Et si ce manuscrit ne dictait pas l'avenir, mais lui donnait une finales chance de l’influencer ? Il posa le parchemin sur un autel brisé et observa l’encre incarnat qui continuait de pervibrer à la luminosité de sa chandelle. Sa index hésita. Et si... s’il refusait de voir mentionnés son destinée ? Si l’écriture ne trouvait pas de regard pour la décoder, pourrait-elle encore avoir lieu ? Dans un fait abrégé, il referma le concède et le jeta dans les désirs d’une torche vacillante. L’encre pourpre se mit à bouillonner, des initiales disparaissant dans une fumée ténébreux. Le grâce court, il attendit. Rien. Le manuscrit n’avait plus d'être capable de. Son appellation, inscrit à l’encre de la destinee, venait de s’effacer ad vitam aeternam.
